Actualité > Dossiers > Dossiers Sciences > Le biomimétisme selon Idriss Aberkane
VIDÉO. Cultiver des plantes pérennes et des polycultures peut permettre d’améliorer la terre aussi bien sur le plan foncier que biologique.
Les sagesses indiennes, qui ne considèrent pas dans la nature les organismes seuls mais comme faisant partie de tout un écosystème, peuvent nous amener à de nouvelles techniques de permaculture. Et notamment ce que l’on appelle les prairies domestiques, c’est-à-dire la capacité de domestiquer tout un ensemble de diversités, qui produirait des cultures vivrières toute l’année sans travail mécanique des sols, sans engrais et sans phytosanitaire.
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Parmi les cultures vivrières, il existe deux grandes catégories : les plantes annuelles et les plantes pérennes. Leur modèle économique est différent. D’une façon générale, un sol sur lequel on a fait pousser des plantes annuelles n’a pas tendance à s’agrader, c’est-à-dire à prendre de la valeur sur le plan foncier comme sur le plan biologique. Il existe bien sûr des contre-exemples, comme la luzerne qui était utilisée au Moyen Âge pour la rotation des cultures….
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