A la croisée des flux, l’Homme Nouveau apprend différemment

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Le 2 juin 2014, WoMen’Up organisait son colloque annuel au MEDEF en collaboration avec The Boson Project sur le thème de La Grande Mutation, proposition d’un nouveau monde.

 

Idriss Aberkanne, expert en neuroscience cognitive, nous a, d’ailleurs, livré une grande leçon de connaissance. Nous sommes des Homo Sapiens, c’est-à-dire des hommes sages. Mais au 20ème siècle, l’homme n’a rien eu de sage, nous rappelle-t-il. Il fut brillant mais fondamentalement inintelligent.

Le grand challenge de l’homme du 21ème siècle est de devenir sage ou de ne pas être du tout. L’enjeu est grand mais l’économie de la connaissance est là pour nous guider, une économie infinie et multiple (en opposition à l’économie matérielle) que l’on doit partager, enrichir, sublimer pour dépasser le monde et ses contradictions. L’assemblage, l’échange des connaissances donnent naissance à d’autres connaissances permettant de faire évoluer le monde positivement. Ainsi, dans l’économie de la connaissance 1+1=3, puis 4, puis 5…

L’économie de la connaissance doit, entre autre, prévenir des combats et œuvrer pour la paix. Et point positif, le capital de l’économie de la connaissance c’est l’attention, le temps. Et si tout le monde ne naît pas avec 1.000 dollars en poche, tout le monde naît avec du temps. Chaque individu a donc sa place et son rôle à jouer dans cette économie-là, qui, de ce fait, tend à être intrinsèquement juste. Mais encore faut-il être prêt à donner de son temps… Et dans quelle circonstance donnons-nous toute notre attention à quelqu’un ? Quand nous sommes amoureux ! L’économie de la connaissance renforce donc la productivité et le pouvoir d’achat des amoureux sincères du savoir.

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