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Elon Musk, dont les ambitions semblent sans limites, veut faire du constructeur de voitures électriques le premier énergéticien au monde.
Pour certains, Tesla est une entreprise en faillite, une bulle spéculative qui ne respecte aucune des règles financières de l’industrie automobile. Pour d’autres, ce n’est rien de moins que le constructeur automobile le plus brillant de l’histoire, dont le titre boursier est encore sous-évalué. Avec une capitalisation qui dépasse les 45 milliards de dollars, le premier constructeur automobile de la Silicon Valley, créé en 2003, vaut déjà davantage que les groupes Vinci, Danone, Engie, Essilor ou Société générale ; en fait, à elle seule, Tesla capitalise plus que Renault, Nissan et PSA réunis et devrait dépasser Airbus et Axa avant la rentrée 2018. Mais si bulle il y a, personne ne semble assez fou pour vendre son action à découvert et parier sur son effondrement à moyen terme. Au point que l’expression a fait son chemin sur le Nasdaq : « Es-tu vraiment prêt à parier contre Elon Musk ? » Avec une performance du titre de 680 % depuis janvier 2013 (67 % par an environ), si vous aviez investi chez eux une Renault Zoé il y a quatre ans, vous auriez deux Porsche Panamera aujourd’hui…
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